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Après vous… sort son 1er EP !

5 titres issus du répertoire du trio gravés sur un cd et tout ça dans une belle pochette.

On lance dès aujourd’hui une campagne de pré-achat du CD sous forme d’un financement participatif. L’occasion de vous procurer notre cd avant tout le monde mais aussi d’acquérir éventuellement les autres productions de la compagnie toujours disponibles ! Vous avez jusqu’au 20 décembre pour participer.

Rendez-vous sur https://www.helloasso.com/associations/gonzo-collectif-2/collectes/1er-ep-d-apres-vous

Présentation :

En mars 2019, Après vous… est convié à passer une journée dans un beau lieu perdu dans la campagne Limousine et ainsi à y enregistrer quelques titres. Une journée d’essai. Une très belle journée.Mais à cause d’un emploi du temps bien rempli, c’est seulement au mois d’août que le groupe a pris le temps d’écouter le fruit de ce travail et de décider d’en faire un EP, d’en faire son premier EP !

Après vous… c’est de la chanson, de la danse, de la musique, du théâtre à six mains… dans l’espace, qui se faufilent, courent, frappent ou caressent, nous emmènent loin.Il y a un côté charnel chez Après vous… des textes qui partent de l’intérieur, une batterie qui fait corps avec les harmonies subtiles de la guitare et une comédienne qui nous raconte tout ça au creux des yeux.

Depuis longtemps Maud et Aurélien avaient envie de créer un spectacle ensemble pour parler des choses qui les traversent. S’ils ont puisé une petite partie du répertoire chez quelques auteurs qu’ils affectionnent tout particulièrement, ils se sont surtout entourés de Thibaud Defever (Presque Oui) pour l’écriture de chansons sur mesure.

Origine du projet :

Le trio était au départ un duo. Formé autour de Maud Thibault et Aurélien Mouzac en 2017, Après vous… a croisé la route de Thomas Hilaire, batteur, au mois d’août 2018. Une belle rencontre complètement improbable.
Il faut vous dire que depuis le début Aurélien avait envie d’associer un batteur à l’aventure pour travailler sur l’aspect rythmique mais aussi charnel de la batterie. Et ces trois se sont rencontrés dans un festival. Maud et Aurélien y jouaient leur spectacle. Thomas, lui, aurait dû être en vacances… mais finalement, un torticolis l’a contraint à passer par là. Il a vu le spectacle puis ils ont discuté, ont convenu d’un rendez-vous. Un rendez-vous d’essai. Quelques mois plus tard, en janvier 2019, le trio jouait pour la première fois en public, comme une évidence. La suite, vous la connaissez ! Une séance de studio et… ce premier EP !

A quoi servira l’argent collecté ?:

La collecte servira à couvrir une partie des frais de pressage du disque et si la collecte est un succès… l’intégralité du pressage, les droits SDRM, l’enregistrement, le mastering…

Notre équipe :

Enregistré et mixé par Bart Velay assisté de Marie Averty à Obro (87)
Masterisé par Alexis Bardinet à Bordeaux (33), Globe Audio Mastering

Création graphique : Laure Desages

Thomas Hilaire : batterie, claviers, chœurs, percussions.
Aurélien Mouzac : chant, guitares, ukulélé basse
Maud Thibault : Petite voix et…

Rencontre Benoit Guerbigny / Maxence Camelin

Deux musiciens reconnus pour leur polyvalence et leurs compétences se croisent sur un bord de scène. En répétition avant de monter sur scène ils croisent leurs musiques au hasard de l’instant. Surpris par l’alchimie de cette rencontre, ils se contactent et  imaginent une collaboration.

Deux musiciens, deux parcours (cf. biographies), deux approches parallèles qui laissent apparaître des points communs marqués qui font leur force et les caractérisent. Tous deux sont des passeurs de musique. Que ce soit dans la transmission, lors de cours ou stage, ou bien sur scène, tous deux s’appuient, créent, inventent, vivent, les musiques traditionnelles. 

Même si leur répertoire est différent, la musique poitevine pour l’un et la musique d’Auvergne et du Sud-Ouest pour l’autre, ils appréhendent ces univers de la même manière. 

Tous deux sont danseurs et considèrent cet aspect comme une obligation, comme une partie intégrante des musiques qu’ils défendent. Tous deux bénéficient d’une solide formation musicale plurielle empreinte de musique classique, de jazz, de rock and roll…., renforcée par la polyvalence entre lecteurs de partitions musicales et musiciens d’oreille capables dans l’instant de reproduire une mélodie entendue. Outre le fait qu’ils soient musiciens, danseurs et chanteurs, le fait qu’ils soient tous deux saxophonistes de formation les rapproche dans l’essence de leurs compositions et dans leurs interprétations mélodiques. 

Un autre aspect de leur personnalité musicale qui les rapproche est la façon dont ils présentent leurs musiques. Entre dérision et émotion, ils aiment tous deux provoquer, bousculer l’auditeur pour le rendre actif dans le partage. La parole, la présentation faite d’humour, de dérisoire chargé de sens font d’eux des musiciens engagés : leurs convictions, leurs mode de vie, leurs goûts, leurs sérieux, leurs choix transpirent sur scène.

Amoureux de bonnes chères, de beaux paysages, de belles natures, ils souhaitent se rencontrer en 2020 sur deux périodes de cinq jours. L’ objectif de ces deux rencontres est de construire ensemble un univers musical, de créer un répertoire qu’ils partageront ensuite sur scène soit en duo soit en trio selon le fruit de leur rencontre.

Rien n’est fait, tout reste à faire. Il arrive parfois que deux musiciens préparent une rencontre en amont et sous forme de résidence répètent les musiques : ce n’est pas le cas ici. Le travail en amont consistera à échanger les envies musicales, à laisser libre cours le cas échéant à la création mélodique issue d’idées de souhaits de projections ; une préparation bien normale à toute rencontre sans chemin prédéterminé, sans direction préétablie, sans esthétiques pré-déterminées : une forme de liberté.

Décrire une rencontre sous cette forme n’est pas possible quant au contenu. En plaçant ici les contours de leurs premières rencontres le travail se poursuivra en 2021 pour cette fois aboutir sur la première d’un nouvel ensemble en diffusion.

Maxence Camelin : Chanteur, danseur, cornemuseux, saxophoniste

Pendant son  enfance passée au Caire, Maxence eut un attrait très fort pour la musique avec quelques cassettes qui ont bercé ses journées notamment, Fela Anikulapo Kuti. Les musiciens du Nil pour lesquels il avait une fascination inconsciente l’ont mené aujourd’hui à être spécialisé dans les hautbois populaires et les cornemuses que l’on retrouve sous des formes différentes avec quelquefois des formes spéciales comme le Mizmar Arghûls.

Maxence étudie d’abord le piano à 6 ans lorsqu’il arrive à Berlin en 1986 et puis le saxophone à l’âge de douze ans à son arrivée à Paris avec comme rêve de jouer comme Fela. En école de Jazz, il découvre John Coltrane qui bouleverse sa vision musicale. 

A 18 ans il délaisse le jazz pour des musiques plus « actuelles » dans différents styles musicaux (funk, rock progressif, expérimental, fanfares de l’est, musique africaine, musiques de films….).

En 1999, il rejoint l’école des Arts Décoratifs de Strasbourg pendant six ans en spécialisation  « Art » mais préfère s’orienter vers la musique et le spectacle vivant.

A 24 ans, il devient musicien professionnel et découvre au même moment le monde des cornemuses et hautbois traditionnels : c’est tout naturellement qu’il intègre des groupes de musique médiévale et de bals traditionnels.

Benoit Guerbigny : chanteur, danseur, accordéoniste, saxophoniste…

Né à Paris, Benoit Guerbigny a, dès le collège, joué dans les bals folk. Il a ensuite appris le saxophone au conservatoire.

Mais la passion pour le bal et la rencontre d’un bûcheron accordéoniste ont déterminé à jamais sa vie. Histoire significative et hautement symbolique, le bûcheron lui a offert son accordéon et lui a dit : “ Apprends à jouer, et quand tu t’achèteras un accordéon donne celui-ci à quelqu’un pour qu’il apprenne à son tour ”. C’est bien là, dans les musiques traditionnelles,  que réside tout le suc de la transmission.

Attiré par l’ambiance festive du Poitou, il y plante ses racines en 1986.

Depuis, il sème sa musique à travers le monde avec les groupes Buff’Grôl, Duel en Sol Majeur, le Duo Guerbigny Thébaut, les Moiss’batteurs, la fanfare l’étrange Gonzo, le Trio Benoit Guerbigny, L’Effet Dulogis, Chaï… 

          « Sur ses genoux, le “trois rangées” s’essouffle, s’abandonne… Sa main droite terriblement mélodieuse, fleurissant jusqu’à l’ivresse, renforce la rythmique, pendant que la main gauche galope d’une basse à l’autre, doublant parfois la mélodie. Esprit créatif et entreprenant, curieux de tout et gourmand du reste, il a la volonté de visiter un espace sonore au-delà des répertoires formels » Claude Barrault (musicien).

« Je Suis Un Robot »

Il est beau il est chaud, le clip «Je Suis Un Robot». Une chanson extraite du spectacle «Les Cabanes» du collectif Gonzo. En guest stars les enfants CM1/CM2 de l’école Paul Bert à Niort:

La version jeune public est désormais prête a sillonner les routes et nous avons hâte d’embarquer les publics dans notre univers de cabaniers … des villes et des champs.  

La prochaine:  samedi 14 décembre à 21h à la MCP à Parthenay.

Il existe toujours une version tout public de ce spectacle.


Au passage, une petite citation tirée du livre «Nos cabanes» de Marielle Macé,  : «Faire des cabanes pour imaginer des façons de vivre dans un monde abîmé, pour jardiner les possibles».On aime et elle nous va si bien …

LES CABANES -Ballade en stéréo et tôles ondulées-

Les cabanes ça nous inspire.

Rouillées, de guingois, sommaires ou sophistiquées…

Perdues dans la campagne ou gagnées par la ville elles nous invitent

à résonner plus que de raison.

Les tontons bricoleurs s’ y adonnent à la bidouille de machines alambiquées,

tout en objets recyclés.

Les portes grincent, les oiseaux pépitent : houpoupou, cling et ratata…

Un récital en trio et, mieux que de l’ Art brut, c’ est « rustique-moderne »,

en musique de chambre à air, de machine à coudre, de moules à tartes.

Venez vous cabaner avec nous.

(nouveau texte de Laurent Baudouin)

Chaï au travail

Chaï s’est levé de très bonne heure pour préparer son jus… les « garçons » préparent la saison à venir en peaufinant leur bal.
Tournage du Teaser et du documentaire présentant le groupe et ses propositions artistiques. L’idée est de faire un pdf de présentation en live… à paraître bientôt.

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EVOLU’SON du Diatonique




PHASE 1 le domaine des possibles

 

Dans le travail de mise sur scène des musiques traditionnelles que ce soit pour la danse ou pour le concert, le contenu et l’esthétique ainsi qu’un travail sur la qualité du  son acoustique ne sont fort heureusement jamais oubliés. Aussi quand la musique est prête, elle est portée sur scène pour être sonorisée et c’est à ce moment là que les problèmes consécutifs à l’amplification apparaissent. En plus des phénomènes acoustiques inhérents au lieu, le sonorisateur se retrouve à gérer des impossibilités liées parfois même à la facture des instruments.  

Les membres du  groupe Chai se sont  retrouvés dans cette situation et ont dû faire des choix d’adaptation par exemple pour la gestion du  choix des micros statiques du chant très proche des violons. La proximité des sources à amplifier génère des problèmes de phases et la qualité du son se retrouve fortement dégradé. 

Un autre problème est l’amplification de l’accordéon diatonique. 

A la différence des accordéons chromatiques la taille impose une conception qui fait qu’aux basses la sortie d’air de la soupape se mélange à la sortie du son des anches basses. L’amplification de proximité devient donc impossible que ce soit avec un micro embarqué ou un micro sur pied et le son des basses amplifiées devenait moins grave que le son réel. 

Une impasse.

Phénomène connu mais mal géré quelques accordéonistes ont essayé de mettre un micro electret dans la caisse ce qui a résolu le problème du  bas du spectre dans l’amplification mais a aussi généré d’autres problèmes comme le larsen avec les retours ainsi qu’un son ‘étouffé” de qualité médiocre et des bruits parasites très importants.

Je vous parlerais ici du travail que j’ai réalisé pour amplifier mon accordéon diatonique en préservant une bonne qualité  de la matière sonore qui peut être ensuite gérée selon le souhait du sonorisateur et de l’instrumentiste. Je précise ici que ce travail concerne surtout la mise en scène de cet instrument. 

Le changement de la lutherie

 

Dans un premier temps avec l’aide d’un amis luthier et musicien, Emmanuel Pariselle, nous avons isolé la sortie d’air de la soupape pour que cet air ne se mélange plus à l’air de sortie des anches basses. Isolation réalisée en contreplaqué fin.

 

Afin de compenser la perte de surface de sortie d’air des basses,  la planche qui recouvre les mécaniques basses a été percée pour éviter un changement dans la nature du son. Ce perçage s’est d’abord fait à l’identique de la surface isolée  puis ensuite ajusté en fonction de l’essai pour enfin être colmaté d’un cache poussière. 





Ce travail a abouti à un confort de jeu, de mise en place, un changement sur la nature du son car l’oreille flattée par des basses sonorisées “propres” a aussi changé la nature du son du groupe. 

PHASE 2 la mise en octave

 

Une fois le problème de l’amplification réglé, l’envie d’adapter le son à mes envies musicales est devenu possible. Mon jeu au diatonique est souvent comparé à une section rythmique ou à une ligne de basse ou contrebasse. J’ai donc pris le parti d’insérer un octaver et de descendre le spectre sonore de mes basses de deux octaves avec un système de on/off (avec ou sans) facile à utiliser.

J’ai d’abord commencé par utiliser un séquenceur Abelton via une carte son (ufx rme) pour gérer cet effet. La qualité du son n’a pas été probante et l’utilisation d’une carte son et d’un séquenceur sur scène était lourd à gérer et source de pannes fréquentes. J’avais déjà expérimenté cet aspect dans mon solo “boucle là”. Je me suis donc orienté vers une pédale d’effet utilisée par les bassiste. Il a fallu néanmoins solutionner deux difficultés de taille : transformer le signal émis par le micro statique en signal compatible pour cette pédale d’effet (comme pour les basses électriques) et gérer le on/off sans bruits parasites en conservant le signal d’origine qui s’additionne à l’effet.

J’ai trouvé une pédale de mute pour micro statique en Angleterre réalisée par un technicien hors pair qui m’a proposé en plus du mute et d’une dérivation du signal converti, une possibilité d’alimentation phantom adaptée à mon micro. J’ai pu ensuite l’associer avec une pédale d’octave boss octamic II. Cela fonctionne parfaitement et encore une fois a changé la nature musicale de mon jeu et de celui du trio Chaï.

Je terminerais par des remerciements à Aurélien Tanghe (pour la barre de couple) et Emmanuel Pariselle (pour la fabrication des éléments) qui ont su me guider dans cette recherche. Je ne revendique pas la paternité d’une telle entreprise quoique in fine à ma connaissance je suis le premier à l’avoir réalisée en la menant à sa fin et qu’elle a fait déjà des émules sur la partie fixation des micros sur un diatonique….

Benoit Guerbigny

Créer avec tous les publics

2019 a été une année riche en création pour Maud et Aurélien : Création lumière du Trio chanson Après vous… en mars à Joze (63), création lumière de la pièce A l’orée du monde en mai à Parthenay (festival Ah?) et enfin création de la lecture musicale signée La grande vague à Monoblet (30) en février puis à Poitiers (86) en juin. Mais Maud et Aurélien ne s’arrêtent pas là car ils considèrent que leur travail c’est aussi de créer avec les gens. Les gens ? Tout le monde ! Car chacun dans ce qu’il a de plus singulier a quelque chose à dire, à raconter et à transmettre.

C’est dans cette démarche qu’ils créent des spectacles avec tous les publics.

En 2019 ça a été d’abord avec des chanteurs du Conservatoire du Bocage Bressuirais, plus exactement deux chœurs , les Trompe-oreilles, enfants et adolescents dirigés par Anne Koppe et accompagnés par Jérémie Germain et les Dames de chœur, femmes dirigées par Sandrine Mouchard pour un partage autour du répertoire d’Après vous… et du chansigne. Deux belles représentations au Théâtre de Bressuire pour terminer cette superbe expérience. On remercie toute l’équipe pour leur travail fabuleux. On n’oublie pas la directrice du Conservatoire, Stéphanie Pineau-Coulon qui est pour beaucoup dans la réussite des projets. Elle a d’ailleurs fait confiance à Maud et Aurélien pour la création d’un spectacle avec tous les élèves de l’École Élémentaire Paul Martin de Mauléon. Treize chansons du répertoire signées et chantées. Une immersion dans l’univers du chant grâce aux interventions de la chanteuse et violoniste Lucile Desrats mais aussi dans l’univers de la poésie visuelle de la langue des signes. Deux représentations à la Passerelle de Mauléon pour un spectacle de près d’une heure ! Une expérience unique pour une école impliquée.

Pour finir en images, nous allons vous parler de Ces petites choses qui nous façonnent. Derrière ce titre se cache un travail de collectage dans les EHPAD. Le but est simple : Parler pour continuer d’exister. Les anciens ont beaucoup à nous transmettre ne serait-ce que par leurs expériences de vie. Maud et Aurélien vont dans les établissements, collectent des paroles, prennent des photos puis petit à petit construisent une forme théâtrale. Ils cherchent à se replonger dans les souvenirs de chacun. Associer une anecdote à une chanson, un moment de vie à des images.

Vous l’aurez compris, à travers leur travail, Maud et Aurélien cherchent à donner la parole, lui permettre d’exister quand parfois même cela n’est plus concevable.

Nous souhaitons remercier tou.te.s les professionnels de l’EHPAD Saint-Joseph à Chiché pour leur investissement et leur attention.

Photos prises par Maud Thibault à Chiché et à la MCP de Parthenay dans le cadre de la restitution au Festival Ah?

Les Cabanes jeune public suite …

Après une première période de travail en avril à Benet, les 3 cabaniers vont finaliser leur version jeune public au patronage laïque à Niort du 29 septembre au 4 octobre.

Ils en profiterons pour tourner des images afin de réaliser 2 vidéos sur les morceaux « Elie et Robot », 2 des dernières créations musicales du spectacle. Ils vont faire participer une classe d’élèves de l’école Paul Bert, les enfants pourront non seulement observer le travail de prise de vue mais ils auront un rôle dans le scénario d’un des court métrage.

En fin de résidence nous proposerons une séance du spectacle pour les 130 élèves de l’école P. Bert ( le vendredi 4 octobre à 11 h), cette séance sera ouverte au public. Ainsi qu’une séance tout public, toujours le vendredi 4, à 21h (participation libre).

Mon Brassens à Transat en Ville !

Vous connaissez Transat en Ville ? C’est une très beau festival organisé par la Ville de Rennes. Sale Petit Bonhomme y a joué son spectacle Mon Brassens devant près de 1000 personnes. C’était le 07 août 2019. Un moment d’écoute exceptionnel dans un cadre magnifique. On vous a ramené quelques photos souvenirs prises par le photographe Jean-Charles Devigne. Merci à lui, à toute l’équipe de Ballade avec Brassens et du festival Transat en Ville pour leur accueil fabuleux.