Cela a débuté le 02 février 2023 par une exposition et la restitution du travail du Collectif Gonzo.
Les documents sonores en écoute sont en effet issus d’un collectage mené dans le cadre du projet Parlons d’Algérie, une action dont l’objectif est d’activer la parole sur un sujet douloureux et souvent tabou.
Parler et écouter.
Aurélien Mouzac, est allé à la rencontre des personnes qui souhaitaient partager leur lien avec l’Algérie, questionnant ainsi, à l’échelle du territoire, les mémoires dans leur diversité.
On parle du colonialisme, de la vie en Algérie avant, pendant et après la guerre. On parle de transmission ou de silence. On parle de souffrance. On doute, on se révolte. On tente d’apaiser.
On parle du colonialisme, de la vie en Algérie avant, pendant et après la guerre. On parle de transmission ou de silence. On parle de souffrance. On doute, on se révolte. On tente d’apaiser.
Vous retrouverez ensuite le Collectif Gonzo les 31 mars et 01 avril 2023 pour le spectacle Parlons d’Algérie, spectacle musical et visuel questionnant la mémoire collective d’Algérie à travers une parole de territoire.
Une coproduction du collectif Gonzo et de la Maison de la Gibauderie.
Une coproduction du collectif Gonzo et de la Maison de la Gibauderie.
La Maison de la Gibauderie a sollicité le collectif Gonzo afin de créer un spectacle à partir des voix de personnes souhaitant partager leurs mémoires et leurs regards sur le sujet toujours sensible de la guerre d’Algérie.
Ces voix, collectées lors d’entretiens organisés à l’échelle du territoire viennent questionner notre propre regard sur une histoire commune à deux pays.
Une mémoire collective apparaît au fil du spectacle, incarnée sur scène par le corps et éclairée par un travail sensoriel autour des imaginaires sonores et visuels.
C’est ici une proposition qui ni ne se veut, ni ne peut être exhaustive. Elle s’intéresse plus à porter notre réflexion au-delà de la guerre d’Algérie car à travers ces paroles singulières, c’est bien de nos relations d’humanité dont il s’agit.
Ces voix, collectées lors d’entretiens organisés à l’échelle du territoire viennent questionner notre propre regard sur une histoire commune à deux pays.
Une mémoire collective apparaît au fil du spectacle, incarnée sur scène par le corps et éclairée par un travail sensoriel autour des imaginaires sonores et visuels.
C’est ici une proposition qui ni ne se veut, ni ne peut être exhaustive. Elle s’intéresse plus à porter notre réflexion au-delà de la guerre d’Algérie car à travers ces paroles singulières, c’est bien de nos relations d’humanité dont il s’agit.
La presse en parle :
